Une formule révolutionnaire
Effibioz, l’équation de l’urgence et de l’honnêteté
Effibioz est un brevet qui a nécessité la mobilisation du Docteur Stephan Auberger et de ses équipes de recherche durant 20 années. L’acide lactique est une substance 100% agro-sourcée et 100% biodégradable avec des efficacités à large spectre contre les bactéries et divers virus. Dans la formule brevetée Effibioz, les acides faibles sous leur forme non protonée peuvent ainsi se diffuser dans la cellule, se dissocier libérant des protons pour conduire à l’acidification du cytoplasme et l’altération des fonction métaboliques vitales pour la cellule, ce qui entraine la mort des bactéries et des virus.
Effibioz, CQFD !
Effectivement, la différence de potentiel pH par acidification soudaine et sévère générée par la formule Effibioz entraine un choc acide doublé d’un stress oxydatif, tandis que tous les mécanismes de survie sont supprimés par le faible pH intracellulaire.
Cette action permet aux formules Effibioz d’être efficaces contre toutes les bactéries, et autres microbes, grâce à la combinaison brevetée de bio-boosters naturels de l’acide lactique végétal. Ce double effet, proche des principes osmotiques et de diffusions intracellulaires, confère une activité à spectre large sans possibilité d’adaptation ou de résistance pour la cellule, contrairement aux mécanismes singuliers des antimicrobiens synthétiques.
Processus d’inactivation des bactéries part la mousse désinfectante mains.
1. Processus de réaction cellulaire de la bactérie en milieu acide, la force non dissociée traverse la membrane.
2. Dissociation : le stress acide pertube la régulation cellulaire à un niveau général.
3. Les bactéries dépensent beaucoup d’énergie : Pour maintenir le pH en pompant l’acide (ATP-ase Pump). Pour modifier leur métabolisme et produire des métabolites alcalins, le stress acide génère des radicaux libre (Electron Transfert Chain)
4. Le stess oxydatif endommage encore tous les mécanismes cellulaires.
5. Inactivation et mort de la bactérie.
Docteur Stephan Auberger
Photographie: Arthur Janin